Les sous-vêtements :

Le caleçon long et les bretelles :

Un seul caleçon est prévu dans le paquetage. Porté en permanence, il existe un modèle en flanelle de coton pour l'hiver et un modèle en cretonne de coton pour l'été. Sur chaque modèle, une bande réglable sur la face arrière permet d'ajuster la taille et 4 cordelettes, en bas, permettent de serrer aux chevilles. En juillet 1916, ces rubans de serrage sont réduits à 15 mm de long.

La paire de bretelles réglementaire est à boutons et en 2 parties. Elle sera souvent remplacée par un modèle en une seule pièce plus pratique, achetée dans le civil. C'est la cas pour la paire en photo.


Paire de bretelles réglementaire à 2 tenants

Paire de bretelles non réglementaire à un seul tenant

 

La chemise :

Le soldat en perçoit 2, la seconde se range au font du sac à dos en guise de matelassure. Comme le caleçon, il existe un modèle en flanelle de coton pour l'hiver et un modèle en cretonne de coton pour l'été. Elle n'a pas de col pour ne pas dépasser du col de la vareuse. Elle possède des longs pans qui descendent jusqu'à mi-cuisse. C'est eux qui sont en contact direct avec les parties génitales car réglementairement, la chemise se porte rentrée dans le caleçon. C'est pour cette raison que 2 chemises sont fournies pour un seul caleçon. Si le caleçon réglementaire est assez utilisé, la chemise est souvent de provenance civile.


Chemise achetée dans le civil
(surrement utilisée par un officier)
Chemise réglementaire de troupe

 

Le bonnet de nuit, les chaussettes et le mouchoir :

- Chaque soldat perçoit un bonnet de nuit en coton. Il ne doit théoriquement pas être emporté sur le terrain mais cependant, on le retrouve souvent dans le paquetage.

- Ce n'est qu'en janvier 1915 que chaque homme perçoit systématiquement 2 paires de chaussettes renouvelées chaque mois. Durant l'hiver 1916-1917, ce nombre est porté à 3.
Durant les saisons froides, les chaussettes distribuées sont confectionnées en laine, durant les saisons chaudes, elles sont mi-laine mi-coton.

- Chaque soldat perçoit 2 mouchoirs en coton.

 

La cravate pour les hommes de troupe :

C'est un rectangle de coton bleu-marine d'environ 1,50 m sur 21 cm qui se porte sous le col de la vareuse afin d'éviter les frottements et de le préserver de la sueur. Elle est nouée par un simple nœud plat.

 

La cravate pour les officiers :

C'est une bande de tissu renforcée d'environ 41 cm sur 3.5 cm (petite taille). Elle existe en 3 tailles et sa fonction est la même que celle de la troupe. L'officier perçoit 2 cravates, une blanche pour la tenue d'apparat et une bleu ciel pour la tenue de campagne.
Elle est munie de 5 petites fentes qui se fixent aux crochets métalliques du col de la vareuse. Une fois en place, elle ne dépasse de celui ci que de quelques millimètres.


Cravate officier de campagne

 

 

Les vareuses :

Au début de la guerre, les soldats n'ont théoriquement pas de vareuse. Un modèle qui date de 1870 existe mais il ne fait pas partie de la tenue de combat. De plus, cette vareuse est totalement inadaptée, très courte et très fine, elle ne protège pas assez du froid. Cependant, faute de mieux, elle va être portée sous la capote durant l'hiver 1914-15, en côtoyant de nombreux modèles civils que l'armée tolère (voir partie "Le Bleu Horizon).

 

La vareuse modèle 1914 :

La vareuse troupe modèle 1914 est enfin adoptée le 9 décembre 1914. Très simple, elle est taillée dans du drap de couleur bleu enveloppant de nombreuses nuances. Elle n'est pas doublée et assez fine ce qui la rend fragile et lui donne un tombé déplorable. De coupe droite, elle ferme par 5 petits boutons en métal.
Elle possède 2 poches de chaque côté formées de 2 carrés de tissus rapportés sur la vareuse. Elles sont munies de pattes fermant par 1 petit bouton. Comme sur la capote, une patte de ceinturon est présente sur le coté gauche. Sur le collet, le numéro du régiment est reporté et en haut du bras gauche, l'insigne de spécialité s'il y a lieu (voir la partie "bleu horizon').


Vareuse troupe modèle 1914 (son grand défaut est de manquer de solidité)

En raison du nombre incroyable de vareuse à concevoir pour équiper toute l'armée française, et comme l'emploi du nouveau drap bleu horizon est réservé en priorité à la capote, l'armée laisse toutes libertés aux entreprises quant au choix et à la teinte du tissu à employer. Il est simplement stipulé que ce tissu doit être suffisamment résistant et de teinte neutre.
Le velours côtelé brun ou bleu foncé, qui répond à ces critères, est utilisé massivement. Et de nombreuses vareuses modèles 1914 sont réalisées avec ce tissu.
Durant l'année 1915, plusieurs réformes sont toutefois menées pour tenter d'uniformiser la production de vareuses. En avril 1915, il est stipulé que seul les velours bleu clair-bleu gris sont tolérés. En juin 1915, ils sont eux même interdits.
Cette interdiction n'empêchera pas la confection en velours côtelé brun clair d'une vareuse modèle 1915 ci-dessous, alors que ce modèle n'apparait qu'en octobre 1915 (voir le chapitre sur la vareuse modèle 1915 juste ci-dessous).


Vareuse troupe modèle 1915 en velours côtelé brun clair

 

La vareuse modèle 1915 :

Finalement, le 10 octobre 1915, un second modèle remplace le premier. La coupe est la même que la précédente mais désormais, la vareuse possède une doublure (manches comprises). Les poches deviennent intérieures et le bouton de la patte disparaît.
Ce modèle 1915 restera en activité jusqu'à la fin de la guerre.


Modèle 1915 (les pattes de collet de couleur jonquille
sont caractéristiques du premier semestre 1915)

Modèle 1915

Modèle 1915


Modèle 1915


Modèle 1915 - Artillerie de tranchée (crapouillots)
(avec son insigne de spécialité)

Modèle 1915

 

De nombreux hommes de troupe qui passent sous-officier et qui ne possédent pas beaucoup d'argent, préférent modifier leur vareuse de troupe plutôt que d'acheter un nouvel uniforme. On trouve encore aujourd'hui assez fréquemment des vareuses de sous-officier qui sont en fait des vareuses troupe modifiées.


Modèle 1915 modifiée officier
(se voit au col à rabat)

Modèle 1914 modifiée officier ayant
appartenue à un sergent. Il prit la liberté
d'y faire ajouter 2 poches de poitrine

Les vareuses officier :

En ce qui concerne les officiers, c'est dès 1912 que la France se pose des questions sur leur uniforme. Outre le problème de camouflage, la question de différence entre officier et homme de troupe est soulevée. En effet, un officier reconnaissable de loin sera aussitôt pris pour cible par l'ennemi car sa perte va désorganiser la troupe qui se retrouvera sans ordre.

Ainsi, le 13 novembre 1912, puis le 22 septembre 1913, le ministère de la guerre essai d'imposer aux officiers qu'ils portent des effets de mêmes nuances et de mêmes formes que la troupe.

Une nouvelle coupe de vareuse officier est donc adoptée le 22 septembre 1913 et définitivement obligatoire le 1er avril 1914.
Ce nouveau modèle est taillé dans un drap de couleur gris de fer bleuté, mais dès la fin de l'année 1914, il sera réalisé en bleu clair. La vareuse posséde un col droit, ferme par 7 boutons en corozo ou recouvert de drap qui sont dissimilés sous une patte de tissu. Elle est dotée de 2 poches de poitrines et de 2 poches de hanche, toutes les 4 à soufflet. Elle est munie d'une ceinture de tissu intégrée, qui ferme par 2 boutons au niveau du ventre. Ce dernier élément est sans doute le plus caractéristique de ce modèle de vareuse.
Comme pour la capote, le numéro du régiment est reporté sur le collet. Le grade est placé au bout des manches et comme le stipule le règlement, sa taille a été réduite afin de le rendre moins visible. Cette mesure a été rendue indispensable en raison des fortes pertes en officiers des premiers mois de guerre. L'insigne de spécialité est porté au bras gauche sous les chevrons de présence aux armées et les chevrons de blessures se trouvent au bras droit (voir chapitre sur la capote).


Vareuse de Colonel modèle 1913

Vareuse de Sergent modèle 1913 confectionnée ne bleu horizon

A partir du printemps 1915, la silhouette des officiers subi une profonde mutation sans qu'aucun texte officiel ne vienne s'ajouter au réglement en vigeur. En effet, la proximité d'officiers britanniques très élégants commence peu à peu à blesser l'orgueil des officiers français de tous grades.

Des modifications apparaissent donc peu à peu dans la coupe de la vareuse et se généralisent rapidement. La ceinture de tissu intégrée tend à disparaitre, soit en n'étant tout simplement omise au moment de la conception de l'effet (elle est alors remplacée par une couture), soit en étant purement et simplement découpée et ôtée, des pattes d'épaules apparaissent, le col devient demi-saxe, les boutons deviennent apparents et sont confectionnés en métal, frappés ou lisses.
Les nombreux modèles de vareuses qui résultent du panachages de toutes ces modifications, sont très clairement inspirés du modèle anglais, qui symbolise à l'époque l'élégance masculine. C'est pour cette raison qu'ils sont très appréciés par les jeunes officiers soucieux de leur apparence. Il faut dire qu'ils ont en exemple les haut-officiers qui n'hésitent pas eux aussi, à revêtir ces nouveaux modèles.
A noter toutefois qu'un nombre non négligeable d'irréductibles porteront le modèle 1913 jusqu'à l'armistice (en y apportant également quelques modifications d'ordre esthétique).

Ce n'est qu'en 1920 qu'un modèle regroupent toutes ces modifications, deviendra réglementaire.

Voici quelques exemples des modèles qui ont été réalisés :


Lieutenent

Sous-Lieutenent
Lieutenant d'artillerie
Sous-lieutenant d'artillerie
Sergent d'infanterie

Sergent d'artillerie

Commandant d'artillerie

Lieutenant-Colonel d'infanterie
(avec 6 chevrons de présence aux armées
et 4 chevrons de blessures)

 

Les veston en cuir

Les différents types de vestons en cuir avant et pendant la guerre

 

 

Les pantalon-culottes :

Le couvre pantalon, la culotte modèle 1914 et le pantalon en velour :

A partir du 12 octobre, des couvre-pantalons de toile bleue sont distribués pour recouvrir le pantalon rouge. Le but est triple, dissimuler le pantalon, diminuer son usure, augmenter la protection contre le froid.
Une très grande latitude est laissée aux intendances et ce sont très souvent des surpantalons de type ouvrier mécanicien issus du commerce qui sont achetés par l'armée et distribués. Certaines unités perçoivent quant à elles des pantalons bleu foncé à passepoil écarlate réquisitionnés des compagnies de sapeurs-pompiers. Enfin, les hommes qui n'ont encore rien perçu ont l'ordre strict de porter les pants de leur capote relâchés ;

En décembre 1914, la forme du nouveau pantalon-culotte bleu clair est arrêtée : le bas de la jambe est resserré sous le genou et se ferme par un lacet ou des boutons. Un carré de tissu supplémentaire renforce les genouillères.
Toutefois, l'emploi du nouveau drap bleu clair est réservé en priorité à la capote, et les mêmes directives que pour la vareuse modèle 1914 sont données. De nombreux pantalons sont donc réalisés en velours côtelé brun, beige ou bleu gris. En juin, dans un souci d'uniformisation des couleurs, les teintes qui ne sont pas gris-bleu sont interdites. Deplus, le 21 avril 1915, il est décidé d'ajouter un passepoil de la couleur de l'arme allant de la taille au genoux (passepoil de couleur distinctive selon l'arme)
Ce n'est qu'à la fin de l'année 1915 que le pantalon velour se rarifie et que la culotte bleue horizon se généralise.

Culottes en velours côtelé avec genouillères

Culotte en velours bleu gris avec un passepoil rouge garance (services de santé)

Culotte en velours bleu avec un passepoil jonquille (infanterie)

Culotte 1914 réglementaire

 

La culotte modèle 1915 :

La nouvelle culotte 1915 bouffe légèrement au-dessus du genou, puis se termine par une manchette enserrant le mollet et fermant à l'aide de petits boutons ou d'un laçage. Cette dernière partie est recouverte par les bandes molletières.
Comme le caleçon long, une bande réglable à l'arrière permet d'en ajuster la taille. Le modèle 1917 comporte des genouillères de renfort.


Infanterie modèle 1915 (troupe)


Cavalerie modèle 1915 (troupe)


Cavalerie modèle 1915 (troupe)


Commis ouvriers d'administration
modèle 1915 (troupe)


Officier d'infanterie modèle 1915


Officier d'infanterie modèle 1915


Aviateur en cuir

 

Voici également un pantalon de troupe très rare qui dû sans doute appartenir à un Zouave. Lors du passage au bleu clair et par là même, de l'uniformisation de toute l'armée française, ce Zouave sans doute très fier de son uniforme très caractéristique à ce corps d'élite, a reproduit le galon de son sarouel sur la nouvelle culotte modèle 1916. Je doute fort qu'une telle pratique ait été réglementaire.


Galon d'origine du Sarouel

 

 

Les bandes molletières et les guêtres :

La bande molletière est une bande en drap de laine de couleur "bleu-horizon " qui est enroulée autour du mollet. Elles deviennent réglementaires le 24 octobre 1914 et remplacent les jambières. C'est le modèle 1910 gris de fer-bleuté de l'infanterie alpine qui est distribué. Au début de l'année 1915, les bandes molletières sont réalisées avec le nouveau drap.

Il en existe 3 types :
1 - modèle octobre 1914 - de forme droite et mesurant 2,60 m et 12 cm de large. Elle se fixe en haut du mollet par un ruban de 1 m 50 de long ;

2 - modèle novembre 1917 - de forme droite et mesurant 2,75 m et 10,50 cm de large. Les bords sont liserés ou surjetés à l'aide d'un drap de laine de même couleur, ce qui ajoute à leur solidité et à leur tenue sur le mollet. La longueur du ruban est réduite de 20 cm ;

3 - modèle civil ayant été utilisé en parallèle dès octobre 1914 - mesurant 2,20 m, leur largeur varie de 7,30 cm aux extrémités à 14,50 cm au centre. Cette forme scintrée leur confère une meilleure tenue autour du mollet.

Bande molletière mod 3
(fixation en haut du mollet par une sangle de cuir - officier)
(fixation par un lacet de tissu - troupe)

 

 

Les officiers portent des jambières en cuir, des bottes ou des bandes molletières souvant du modèle scintré.


Paire de jambières
Paire de bottes officier type aviateur

 


Rare et peu connue, cette paire de sur-bottes de tranchée.
Utilisée par les officiers, elles permettaient de se protéger.
un tant soit peu de la boue et de l'humidité.

 

Les paires de brodequins de marche renforcés :

Type 1912

Les brodequins possèdent une épaisse semelle cloutée.
Les premiers modèles de 1912 ont le défaut de n'être pas assez étanches.


Paire de brodequins mod 1912

Type 1915

En 1915, l'ajout de 2 soufflets de cuir entre la languette et les 2 parties au niveau de la cheville, vont permettre de réduire sensiblement ce défaut.

Paire de brodequins 1912 modifiée 1915

 

Type 1916

En 1916, un rivet de renfort est ajouté de chaque coté de l'empeigne pour rendre le brodequin plus solide.

Paire de brodequins mod 1916

 

Type 1917

En 1917, la tige est rehaussée de 15 mm pour mieux tenir à la cheville.

Paire de brodequins mod 1917

 

Le brodequin de repos:

Depuis 1912, il existe une paire de brodequin dite "de repos", mais en 1914, un nouveau modèle apparaît. C'est une chaussure légère en toile cachou ou en peau de mouton renforcée d'un contrefort en cuir souple. Elle se lace par 2 rangés de 8 oeillets.
Sa production est massive jusqu'au printemps 1915 puis ralentie car il est constaté que les soldats préférent percevoir une seconde paire de marche plutôt que la paire de repos. Cependant, la production reprend en 1916 en ajoutant des clous à la semelle. Désormais, les hommes percevront 2 paires de brodequins de marche durant les saisons froides et une paire de brodequin de marche et une paire de brodequin de repos durant les saisons chaudes.

Paire de brodequins de repos mod 1916

 

Les effets chauds :

A la mobilisation, rien de réglementaire n'est prévu pour protéger les soldats du froid (la guerre devait être courte et l'armée n'a rien anticipée pour une campagne d'hiver). C'est donc auprès de leurs familles respectives que les hommes sont contraints de s'équiper en vêtements chauds. Petit à petit, des gilets, des moufles, des écharpes et des chaussettes de toutes sortes et de tous coloris vont apparaîtrent sur le front. Le haut commandement n'a pas d'autre choix que de laisser faire.

Durant l'année 1915, avec la réforme de l'uniforme, quelques mesures sont tout de même prises par l'armée :
- des moufles sont réalisées avec du drap bleu horizon usagé, l'index est séparé des autres doigts pour permettre de tirer au fusil. Les moufles civiles de couleur neutre continuent à être tolérées ;


Paire de moufles d'aviateur


Paire de moufles confectionnée en drap bleu horizon

 

- des tricots de laines sont distribués. Achetés par l'armée à des fabricants civils, il n'en existe pas de modèles réglementaires ;
- les deux paires de chaussettes renouvelées chaque mois en mi-laine mi-coton sont réalisées uniquement en laine durant l'hiver. Il n'existe pas de couleur réglementaire bien que le blanc soit la couleur la plus utilisée ;
- les écharpes tendent à être uniformisées le plus possible et seule les teintes proches de la couleur de l'uniforme sont autorisées. Leur provenance reste civile.


L'un des modèles d'écharpe de laine les plus utilisés

En plus de tout cela, apparaissent les incontournables gilets en peau de mouton, non réglementaires mais si appréciés quand le froid est rude. De confection très simple, ils sont soit portés laine au dehors où laine au dedans, serrés à la taille par une simple ficelle.

 

Le bourgeron :

Depuis 1894, les troupes de cavalerie, d'artillerie et du train possèdent un pantalon et une blouse bourgeron. Ces effets sont réservés pour les exercices et les corvées.
Ils sont confectionnés en forte toile de lin écrue, pouvant résister à une charge de 90 kg dans le sens de la chaine et 140 kg dans le sens de la trame.

Durant la guerre, toutes les armes les adoptent car ils constituent une tenue d'appoint idéale. Très utilisés dans l'artillerie notamment, ils ont l'avantage d'être plus légers que la tenue bleu horizon tout en étant très résistant, et ils sont idéasl pour les travaux très salissants.

La blouse est ouverte sur la poitrine et ferme à l'aide de 4 boutons en zinc. Les 2 parties avants et la partie arrière sont chacune découpées d'un seul morceau. Chaque épaule est reformée d'une bande de toile dite " épaulière ". Sur la partie avant gauche est placée une poche qui ferme par un bouton.

Le pantalon est de coupe droite. Ses parties avant et arrière sont découpées d'un seul morceau. Dans le dos, une martingale permet d'ajuster la taille.